Je vous propose, à travers ce billet, de découvrir une nouvelle chronique. Cette chronique sera dédiée aux séries. En effet, outre ma passion pour la musique et la danse, le cinéma en général et les séries occupent largement mes phases de loisir de détente et d’attente dans les aéroports entre deux vols. J’aimerai cibler une série espagnole excellente – et non je ne parle pas de l’énorme Casa de Papel – qui exploite le filon de l’univers carcéral au féminin de manière bien dark, j’ai nommé Vis-à-Vis.
Même si le premier épisode de la saison 1 laisse présager un sous Orange is the new black. Cependant, on glisse rapidement vers un univers violent et sombre à souhait où seul ceux ou celles qui ont le plus de vices peuvent survivre. Déconseillé à un public très jeune ou impressionnable, VàV est une petite perle à chérir, dans la droite ligne de l’immense OZ de la fin des années 90 ! Je ne parle pas du magicien d’OZ Goddammit, mais d’une série emblématique qui a sûrement inspiré le réalisateur de VàV. Je vous en dirai sans doute davantage dans un autre billet.
-
Belzebuth es una niña…
VàV suit le parcours chaotique d’une criminelle en col blanc, dans une prison où la plupart des détenues purgent de longues peines pour meurtres, trafic de drogue international, dépeçages divers et variés. Le personnage du méchant dans cette série est interprété par une femme qui doit être la grande sœur de Belzébuth. Rien que ça ! Manipulations, coups de pression à l’intérieur et à l’extérieur de la prison, cliffhanger de ouf je ne vous en dit pas plus. J’en ai dit suffisamment pour égayer votre curiosité.
En conclusion, VàV est une série à voir absolument. Trois saisons sont déjà disponibles. Suffisant pour faire passer Orange is the new black pour un mignon dessin animé du club Dorothée. Notamment la dernière saison de OITNB qui est vraiment gentillette, et qui manque cruellement de relief !
Bon visionnage !